La loi abat, abats la loi.

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tractopel

La loi abat, abats la loi.

Il pleut depuis des décennies des flux acides de l’état, de plus en plus toxiques– ici et ailleurs.

Les lois étatiques d’où découlent injonctions, protocoles et autres prérogatives sont le cercueil dans lequel la populace gît.

Des lois du package démocratique pour dissoudre toute velléité de s’opposer sont appliquées pour maintenir les gens dans une taule à ciel ouvert.

Des lois qui ne sont établies que par et pour les privilégiées.

Des lois appliquées à la lettre lorsque établi comme dangereux, virus ou terrorisme seraient pires tortionnaires que ceux qui les mettent en pratique ou ceux qui les chient du fond de leurs sièges en velours.

Des lois qui, d’après les défenseurs d’un existant de merde, seraient protectrices, pourraient dans leur monde idéal autoritaire servir pour tous.

Des lois qui permettent d’utiliser tout un panel de surveillance : du drone à la reconnaissance faciale, aux caméras implantées.

Il n’y a pas qu’une loi à dézinguer, c’est la totalité à foutre en l’air.

Le quotidien montre la foutaise de ce monde que politicards et faux critiques défendent avec ferveur.

Faire appel aux rouages de l’état et de ses défenseurs, pour « une meilleure démocratie », quémander son droit de vivre à travers des revendications ont toujours servi à maintenir cet existant mortifère.

Penser que se contenter de miettes, fussent-elles goûteuses, ne sert qu’à protéger les privilégiées – états, capitalistes, et tous ceux qui veulent les préserver en tentant de l’améliorer.

La chaise sur laquelle tu es assis, la veste que tu portes, l’écran que tu regardes et à travers lequel tu veux montrer l’atrocité et la violence de l’état ne sont que les fruits de l’exploitation d’autres, ailleurs ou pas, des produits graissant états et consorts destructeurs des vivants et du vivant.

Plutôt que de filmer, attaque, sabote, prends ta revanche, ce monde est rempli de laideurs qui tuent.

Il n’y a rien à réformer dans un monde qui broie les vies.

Crève l’état et ses lois

Crève l’autorité

Ni loi, ni anomie,

VIVE et VIVRE l’ANARCHIE !

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